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Le karma et les Reptos

5. 2009


 

Quand on a lu les affirmations d’Ettish, dans le livre de Susan Reed, sur le filet à attraper les esprits et sur les manipulations des Reptos dans nos annales akashiques, on peut vraiment se dire que « Le karma n’est plus ce qu’il était ! » Il y a encore beaucoup d’ésotéristes qui tiennent mordicus à la thèse du « Si tu vas mal, c’est de ta faute », ou du « Si tu es tellement attaqué, c’est que tu entres en résonance avec ça ». Je ne leur en veux pas, j’ai soutenu la même chose pendant des années. Mais il faudrait tout de même que ces ésotéristes commencent à remarquer qu’ils clopinent derrière la réalité.

Car ces thèses sont fondamentalement injustes envers un nombre important de personnes. Des âmes déjà très avancées n’arrivent pas à quitter notre dimension. Elles se font attraper, on les charge d’un nouveau karma qui les force à se réincarner. Et cela ne suffit pas qu’elles doivent affronter des problèmes qu’elles ont réglés depuis longtemps, non, elles se retrouvent sous la garde spécifique des Reptos, freinées sur tous les plans, pour qu’en aucun cas elles ne puissent continuer leur évolution. Si l’on réfléchit au fait que les interférences reptiliennes durent depuis des dizaines de milliers d’années, alors il faut repenser la question de la signification du karma.

Certaines âmes aux facultés exceptionnelles ont reconnu déjà dans la nuit des temps le jeu corrompu des Reptos. Le destin tragique de ces êtres est qu’à chaque incarnation, ils se retrouvent sous le poids d’un karma artificiel, et qu’ils sont dans chaque vie sévèrement surveillés et freinés dans toutes leurs entreprises. Ils sont enfermés dans une prison psychologique pour des milliers d’années. J’en sais quelque chose parce que j’ai, « par hasard », épousé une de ces âmes. C’est pour cette raison que j’avais prévu la rédaction de cet article avant d’avoir eu vent des déclarations d’Ettish. Ces déclarations apportent donc un peu plus de poids à ce que je raconte ici.

Tout ceci est valable aussi pour les hybrides, les extraterrestres dans des corps humains, qui ont pris le parti de l’humanité ; à cause de leurs facultés hautement développées, eux aussi sont depuis des milliers d’années la cible privilégiée des Reptos. Ils ne reçoivent évidemment plus un nouveau corps quand l’ancien est usé. Ils doivent mourir. Leur âme est alors prise dans le filet et ils doivent se réincarner. Et l’on peut être sûr qu’ils ne vont pas atterrir dans du coton, malgré tous leurs efforts.

(Certains affirment paraît-il qu’à partir de la deuxième ou troisième incarnation, les hybrides deviennent humains. Je ne partage pas cette opinion. Habituellement les hybrides utilisent des moyens techniques pour changer de corps et ne passent pas par la réincarnation. Mais il y a des exceptions. Quand un hybride, par exemple, pour une raison ou une autre devient humain, donc quand il devient accessible à la compassion et perd sa cruauté débridée, les Reptos ne lui accordent plus de nouveau corps. Donc un jour ou l’autre il doit mourir et entre ainsi automatiquement dans le cycle de la réincarnation, comme les autres humains.)

Alors commençons un peu à envisager autrement les « lois » du karma. Une affirmation qui pour moi reste toujours valable est celle-ci : Les énergies que je porte en moi, que je les aie produites moi-même ou qu’elles m’aient été imposées, ces énergies déterminent ma vie. Sur la base de religions faussées, beaucoup de gens croient qu’il faut expier le mal que l’on a fait. Celui qui a nui à de nombreuses personnes dans des vies antérieures sera obligé de souffrir copieusement. Cela peut effectivement être le cas, mais pas obligatoirement. Ce n’est pas une loi énergétique.

Que se passe-t-il pour un humain nouvellement incarné qui a dans sa vie précédente tué volontairement d’autres humains ? Doit-il maintenant souffrir jusqu’à ce que tout ait été expié ?

Mon travail sur les vies antérieures des humains m’a apporté un certain nombre de réponses. Chez presque tout le monde, on voit apparaître des vies antérieures où des dommages considérables ont été infligés aux autres. Par un processus apparemment automatique, des fragments d’âme des victimes s’accrochent à l’auteur des faits. C’est ce qui se passe par exemple dans le cas d’un meurtre, quand l’esprit de la victime, choqué par la brutale décorporation, s’accroche à son meurtrier comme à sa seule personne de référence. Pour d’autres genres de dommages que le meurtre, un fragment d’âme peut de la même manière s’accrocher au responsable. Que la victime finisse un jour ou l’autre par mourir ne change rien à la situation. Quand la victime et/ou le responsable se réincarne, cette situation reste inchangée. Un fragment d’âme de la victime reste accroché au responsable. Cela peut aller si loin que l’un peut s’incarner comme fils ou fille de l’autre, ce qui peut conduire à des relations familiales extrêmement dures.

Toute une série de facteurs peuvent influencer cette relation de dépendance. Par exemple, les sentiments que la victime ressent envers l’auteur des faits ont leur importance. Certains êtres peuvent éprouver de la compréhension, de l’empathie, pour celui qui leur a fait du mal. Dans ce cas il ne se développe pas de dépendance. Souvent, la victime ressent surtout de la colère contre son persécuteur, ce qui est la garantie que l’âme va rester collée. Dans d’autres cas, la victime s’accroche au coupable parce qu’elle a peur de lui. Lors d’une nouvelle incarnation, l’un comme l’autre est pénalisé par ce lien.

(J’ai du mal à suivre le fil de ce texte, parce que chaque phrase ouvre une quantité de sujets nouveaux. Je vais donc devoir me limiter quelque peu. Si vous avez des questions particulières – un mail s’il vous plaît. Et j’aimerais ensuite pouvoir publier questions et réponses, à moins que les questions ne soient du domaine privé.)

Pour revenir à la question de départ « Qu’arrive-t-il à un nouvel incarné qui a, dans sa vie précédente, tué volontairement des humains ? » ma réponse est la suivante : les esprits de ses victimes s’accrochent à lui et lui rendent la vie difficile, à moins que

  • ils lui ont pardonné,

  • ou le coupable jouit d’une protection de la part d’êtres puissants, par exemple les Reptos,

  • ou la situation a été guérie,

  • ou ?

Au cours des années, il m’est arrivé de façon répétée, lors de séances de guérison, de recevoir la visite d’êtres qui avaient été les victimes de mes patients. Mon devoir était alors d’apaiser suffisamment ces êtres pour qu’ils libèrent mon patient. Dans certains cas, il suffisait de libérer la charge émotionnelle. D’autres fois, les victimes étaient plus têtues. Ce n’est qu’après avoir appris l’existence des Reptos que j’ai compris ce que voulaient les victimes. Elles voulaient que le coupable cesse d’agir comme une marionnette dont les Reptos tenaient les fils. Car tant que cette situation perdure, la personne demeure dangereuse. Ce n’est qu’après que les liens aux Reptos avaient été dénoués que les victimes d’autrefois libéraient leur tourmenteur. Dans la plupart des cas, ces liens avaient été tissés au cours d’initiations et de rituels au sein de sociétés secrètes.

Et voici le point central de cet article :

l’élimination du karma signifie dans la plupart des cas

l’élimination des liens aux Reptos.

En aucun cas le karma ne signifie des années de pénitence et de souffrance. Un tel état de faiblesse ne fait que rendre la personne vulnérable aux manipulations des Reptos. Nous déclarons donc une amnistie générale pour tous ceux qui se sont libérés de leurs liens aux Reptos, et pour ceux qui souhaitent le faire. Ces personnes sont des alliés précieux pour notre libération à tous. (Le guérisseur qui n’est pas au courant de toutes ces relations se verra confronté à de nombreux problèmes karmiques qu’il ne pourra pas guérir.)

Cadavres dans le placard – à ne surtout pas laisser sortir.

Hélas, la grande majorité des humains ne s’intéresse pas le moins du monde à ses liens karmiques. Et même si les centaines et centaines de sortes d’ignorance sont produites par les Reptos, je peux dire que chaque ignorant m’énerve. Mais pour mieux décrire la situation, une petite histoire.

Il y a quelques années, notre ami Michael nous a conduits à un certain endroit de la République Dominicaine pour y rencontrer quelques personnes intéressées spirituellement. Ce lieu s’appelle Maimón, il est situé au centre de l’île et on y trouve un beau lac de retenue. Nous dormions dans un petit hôtel, ou pour mieux dire, je n’ai pas dormi de la nuit. J’étais nerveux, stressé, agité, tout cela sans aucune raison apparente, ce qui n’est pas du tout mon habitude. Après le petit déjeuner nous avons pris la voiture pour le lac. La région était belle, il y avait de nombreux endroits à explorer, et Michael essayait de nous y encourager. Mais impossible de rien tirer de moi ; et bizarrement, Karin était dans le même état, alors qu’elle avait dormi.

Ce n’était pas tellement la fatigue, c’était une pesanteur écrasante que nous ressentions tous les deux, et qui nous ôtait tout esprit d’aventure. Après que Michael ait renoncé à nous motiver, nous sommes allés nous asseoir dans la Jeep. J’ai dit : « Il y a quelque chose qui ne va pas. Je suis écrasé par les énergies. Il faut que quelque chose change ici pour que je redevienne bon à quelque chose. On dirait qu’il y a une foule d’esprits coincés ici. » Après un certain temps, Michael a répondu : « Il y a eu un carnage ici. Beaucoup d’Indiens Tainos ont été massacrés. » À ces mots, une puissante vague d’énergie m’a traversé le corps. (C’est une réaction typique pour moi quand des fragments d’âme se libèrent en passant par mon canal de guérison.) La vague d’énergie curative a duré une bonne minute. Oh, quel soulagement !

Là j’ai commencé à me sentir mieux, mais peu après j’ai ressenti de nouveau quelque chose de lourd. J’ai demandé à Michael, qui connaît parfaitement l’histoire de l’île, à quoi cela pouvait correspondre. Il savait aussi qu’à ce même endroit beaucoup d’Haïtiens avaient été massacrés, et sa réponse a déclenché chez moi une autre forte réaction énergétique. Et après tout alla bien. Karin et moi nous sommes alors pour la première fois intéressés à l’environnement, et nous avons retrouvé notre esprit d’aventure.

Je ne peux pas dire quelle influence a pu avoir cette libération d’âmes sur la région ou sur les gens, car jusque là je ne connaissais pas la petite ville de Maimón et je n’y suis jamais retourné depuis. Tout ce que j’ai pu remarquer, c’est que je m’y suis senti très mal. Je sais d’expérience que la libération d’un grand nombre de fragments d’âme tourmentés se fait fortement sentir. Ce qui m’a étonné, c’est que parmi le grand nombre de sorciers et de voyants de la région, pas un seul n’avait jusque là remarqué ou entrepris quoi que ce soit dans ce domaine.

En fait, ces libérations de fragments d’âme ne sont pas correctes. Pourquoi ? Eh bien, pour qu’il y a ait un massacre, il faut qu’il y ait des assassins. Et qu’est-ce qu’ils deviennent ? C’est évident, ils sont réincarnés. Et je parie que ce sont des ignorants – des gens qui vivent une petite vie confortable, qui vont bien et qui ne s’intéressent absolument pas à toutes ces histoires ici sur ce site. D’un côté des fragments d’âme coincés et torturés, de l’autre des ignorants* vivant dans le confort, et qui ne veulent rien savoir de leur passé. Ce qui serait juste, ce serait que les âmes victimes se libèrent et s’accrochent aux assassins jusqu’à ce que ceux-ci aillent tellement mal qu’ils soient obligés de se réveiller. Mais… les Reptos font bien attention à ce que ceci n’arrive pas.

(* Tous les ignorants ne sont pas automatiquement d’anciens assassins. Beaucoup de victimes refoulent leur passé à cause des souffrances, de la peur ou des menaces qu’il contient, et restent pour cette raison ignorantes.)

Les Reptos entretiennent pour leurs propres intérêts ces réservoirs (pools) énergétiques chargés de peur et de souffrance, et les emploient à différents usages. Un de ceux-ci consiste à freiner les humains dans leur évolution, en leur attachant (à différentes reprises si nécessaire) de lourds fragments d’âme qui ne leur appartiennent pas. Ils enterrent ceux qui pourraient leur être dangereux sous de telles énergies étrangères. Les mages noirs aussi utilisent cette technique quand ils veulent ou doivent nuire à quelqu’un.

Je peux aussi imaginer que de grandes quantités de fragments d’âme torturés soient utilisées pour l’accomplissement d’actions « très noires », par exemple de fausses attaques terroristes exécutées pour ouvrir la voie à une guerre. Car pour exécuter avec succès de sombres projets, on a besoin d’énergies sombres. De plus, la présence de ces énergies négatives a pour effet que les humains réagissent par la peur, et par l’activation de leurs craintes les plus noires. Ils se retrouvent donc ainsi dans l’impossibilité de conserver leur discernement et de percer à jour les artifices.

Le déversement massif de grandes quantités de tels fragments d’âme créerait vraisemblablement une situation apocalyptique. C’est probablement la méthode par laquelle les Illuminatis et les Reptos ont l’intention d’introduire leur nouvel ordre mondial.

Mis à part le fait que les fragments d’âme torturés représentent un danger, nous devons comprendre qu’ils sont des parties de nous. Finalement, ce sont des hommes (nous) qui ont été cruellement traités jusqu’à en mourir, pendant ou après. À partir du moment de la mort, cette conscience désormais dépourvue de corps est dans un état insupportable, dans un besoin criant de libération (parfois aussi de vengeance). Je crois que ces consciences sont manipulées pour rester dans leur isolement, c’est-à-dire que je crois qu’il n’est pas naturel que des états de conscience insupportables ne trouvent pas à se résoudre. À chaque fois que j’entre en contact avec un tel fragment d’âme, je remarque avec quelle intensité il recherche la libération.

Ce n’est que très rarement qu’il leur arrive de rencontrer un canal de salut. Lorsqu’ils peuvent s’accrocher à une personne vivante, ou bien lorsque cet accrochage se fait par l’intermédiaire d’un mage noir ou d’un Repto, la personne concernée se sent simplement mal. Elle devient peureuse, déprimée, elle perd espoir, se sent menacée et peut finir par développer toutes sortes de maladies. La plupart du temps on n’en découvre pas la cause, car à qui peut venir l’idée d’être porteur de l’esprit d’un mort ?

Quand des fragments d’âme torturés à la recherche d’aide arrivent à trouver un contact, c’est généralement avec des gens dont les canaux, en particulier de guérison, sont ouverts. Ces gens n’ont pas à s’étonner d’aller mal. Celui qui est bloqué sur tous les plans court moins de risques de vivre une telle situation.

Je sais que nombreux sont ceux qui, en travaillant avec leurs forces de guérison, ont découvert et libéré des fragments d’âme torturés. Je leur conseille naturellement de continuer à le faire. Mais la solution ne peut pas être que quelques-uns s’occupent de sauver toute l’humanité alors que la masse des ignorants va jusqu’à se moquer d’eux. Il faut que tout le monde soit concerné, surtout ceux qui ont fortement contribué à la naissance du problème. C’est là que devrait intervenir le karma. Il faudrait que la protection anti-naturelle dont profitent les anciens coupables vis-à-vis des victimes leur soit retirée. Les coupables se trouveraient alors confrontés à de sérieux problèmes qui les obligeraient à prendre une décision, celle de oui ou non redevenir des humains doués d’empathie.

Comme je l’ai écrit au début de cet article, il ne s’agit plus de souffrir à cause de ses mauvaises actions mais de se libérer définitivement de ses liens avec les Reptos ; c’est-à-dire des privilèges et de la protection offerts par l’actuelle structure de pouvoir. L’entreprise peut se révéler difficile car les Reptos ne laissent pas facilement partir qui que ce soit. Mais le premier pas, et le plus important, serait la décision de prendre la tangente.

 

 

 

 

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